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 le 11 septembre 2001

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MessageSujet: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:40

11 SEPTEMBRE 2001

- World Trade Center et Pentagone -




CHRONOLOGIE OFFICIELLE DES ÉVÉNEMENTS :

Au dire des autorités, les attentats du 11 septembre se sont déroulés de la façon suivante (l'heure peut varier de quelques minutes selon les sources - l'indication des étages du World Trade Center de New York est approximative) :


  • 8 h 48 : un avion (Boeing 767, vol American Airlines AA 11 Boston-Los Angeles) percute la façade nord de la tour nord du WTC (tour 1 - la tour surmontée d'une antenne) entre le 80ème et le 85ème étage ;

    9 h 03 : un deuxième avion (Boeing 767, vol United Airlines UA 175 Boston-Los Angeles) percute la façade sud de la tour sud du WTC (tour 2) entre le 70ème et le 75ème étage ;


  • 9 h 38 : un troisième avion (Boeing 757, vol American Airlines AA 77 Washington-Los Angeles) s'écrase sur le Pentagone de Washington (partie centrale de la façade ouest) ;
    10 h 05 : une heure après le crash, la tour sud du WTC s'effondre comme un château de cartes, les poutrelles d'acier constituant l'ossature du gratte-ciel ayant fondu ou cédé sous l'effet de l'incendie ;


  • 10 h 10 : un quatrième avion (Boeing 757, vol United Airlines UA 93 Newark-San Francisco) s'écrase dans le Somerset County, en Pennsylvanie ;


  • 10 h 28 : la tour nord du WTC s'effondre elle aussi, pour les mêmes raisons que la tour sud, mais une heure et 40 minutes après le crash ;


  • 17 h 20 : le Building 7 du WTC s'écroule à son tour de manière inexplicable plus de huit heures après les attaques contre les deux tours.
    le 11 septembre 2001 Wtc_area
    le 11 septembre 2001 Ny_avant le 11 septembre 2001 Ny_apres
    Les quatre avions ont été détournés par des pirates de l'air qui, après avoir neutralisé ou tué les pilotes, ont lancé les appareils contre les cibles choisies. Dans le cas du quatrième avion, on pense qu'il était dans l'intention des terroristes de le faire exploser sur la Maison Blanche ou sur le Capitole, mais pour une raison inconnue, leur plan n'a pas abouti et l'appareil s'est écrasé au sol bien avant d'atteindre la capitale.

    PREMIÈRES QUESTIONS - PREMIERS DOUTES :

    L'opinion générale est que l'immense quantité de documents visuels diffusés par les médias corrobore la version officielle des faits. Un examen attentif et impartial du matériel disponible conduit cependant à un résultat sensiblement différent.

    Qu'avons-nous vu au juste le 11 septembre ?

    Tour nord du WTC :

    le 11 septembre 2001 Globalhawk le 11 septembre 2001 Wtc_1 le 11 septembre 2001 Wtc1 L'événement a surtout été photographié et filmé après l'explosion - A l'exception de la vidéo spontanée des frères Naudet, on ne dispose pas d'images montrant l'approche de l'avion et l'impact proprement dit.


  • Contrairement aux images de la tour sud (voir plus bas), ni la vidéo ni la photo de gauche qui en est extraite ne permettent d'affirmer avec certitude qu'il s'agit d'un Boeing. Il pourrait aussi bien s'agir d'un avion de plus petite taille.


  • L'empennage en forme de V fait penser au Global Hawk téléguidé (photo de droite). Les témoignages visuels sont contadictoires et probablement influencés par la présentation du crash sur la tour sud.

    D'ailleurs, selon le Bureau of Transportation Statistics (BTS) du ministère des Transports (DoT), il n'y a pas eu de vol AA 11 le 11/9/01, pas plus d'ailleurs que de vol AA 77 (Pentagone) - détails.

    Quant à l'effondrement des tours jumelles (nord et sud), les explications données officiellement sont pour le moins contestables. La destruction du Building 7 reste elle aussi entourée du plus épais mystère.

    Tour sud du WTC :

    Ici aucune contestation n'est possible pour ce qui est du crash. Les nombreux témoins alertés par l'explosion de la tour nord ont abondamment filmé et photographié la scène (voir plus bas). Ce sont d'ailleurs presque toujours ces images sans équivoque d'un avion percutant la tour sud qui sont présentées au public pour accréditer la thèse officielle - très peu ou pas du tout documentée - concernant les trois autres appareils.

    Pentagone :

    Il est fort douteux que les choses se soient passées contre le prétendent les autorités et les médias, car on n'a retrouvé sur place aucune trace d'un avion. On nous "explique" que le Boeing s'est volatilisé, c'est-à-dire que le métal de la carlingue s'est évaporé sous l'effet de la température. En revanche, les corps des victimes qui se trouvaient dans cette carlingue ont pu être identifiés !... Voir les détails à la rubrique Etrange - Les mystères de l'attentat contre le Pentagone.

    Pennsylvanie :

    On nous dit que des passagers ont tenté de s'opposer au détournement, contribuant peut-être au crash prématuré du Boeing, mais épargnant la capitale. Pour étayer cette affirmation, on fait état de plusieurs appels téléphoniques effectués depuis l'avion. Difficilement vérifiable, la chose n'est de toute façon que partiellement plausible. (On pouvait, en 2001, téléphoner depuis un avion volant à haute altitude en utilisant les téléphones de bord encastrés dans les sièges ; en revanche, les téléphones cellulaires n'étaient pas d'une grande utilité - voir Etrange - A bord des avions.)

    Le fait que des débris aient été retrouvés à douze kilomètres à la ronde semble indiquer que l'appareil a explosé en vol. A-t-il été abattu par la chasse américaine ? Pour le savoir, il faudrait connaître le contenu de la fameuse boîte noire. Elle aurait été retrouvée mais, bien entendu, rien n'a été divulgué ("secret défense"). Voir :


  • Etrange - Le vol UA 93.

    Bien d'autres questions se posent touchant les circonstances de l'attentat, la réaction des autorités, les présumés coupables, etc... Voir notre page Etrange - Questions sans réponses.

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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:40

DES PHOTOS QUI SE PASSENT DE COMMENTAIRE :

le 11 septembre 2001 Wtc_crash2

le 11 septembre 2001 Ny_22 le 11 septembre 2001 Ny_23 le 11 septembre 2001 Ny_20 le 11 septembre 2001 Ny_6 le 11 septembre 2001 Ny_7 le 11 septembre 2001 Ny_9 le 11 septembre 2001 Ny_4 le 11 septembre 2001 Ny_16 le 11 septembre 2001 Ny_12 le 11 septembre 2001 Ny_15 le 11 septembre 2001 Pentagone
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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:41

BILAN OFFICIEL :



  • 266 morts dans les quatre avions (bien que les listes publiées par les compagnies aériennes ne mentionnent que 231 noms). Si toutes les places avaient été occupées, il y aurait eu plus de 800 victimes.

  • 125 morts au Pentagone (environ 25.000 personnes s'y trouvaient habituellement)

  • 2.750 morts au World Trade Center, dont environ 350 pompiers et secouristes (en temps normal 50.000 personnes travaillaient au WTC, sans compter les nombreux visiteurs). Au départ les reponsables avaient fait état de 5.000 victimes, mais ce chiffre a été corrigé à la baisse.

    On ignore le nombre exact de rescapés. Sachant qu'il s'est écoulé 1 heure et 40 minutes entre le premier crash contre la tour nord et l'effondrement de celle-ci, et 1 h et 15 minutes entre ce même premier crash et l'effondrement de l'autre tour, on peut penser qu'un certain nombre de personnes ont pu se mettre à l'abri avant qu'il ne soit trop tard. Des témoins ont indiqué qu'on leur avait demandé, par haut-parleur, de ne pas quitter les lieux et de retourner à leur travail, pour des raisons de sécurité (sic). Ceux qui n'ont pas tenu compte de cette consigne criminelle ont accrû leurs chances de survie. Mais nul ne sait combien d'employés du WTC sont restés sur place, combien se sont trouvés bloqués dans les ascenseurs, combien ont péri dans les étages supérieurs, et combien ont perdu la vie par suite de la panique et des bousculades qui ont dû se produire un peu partout.
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MessageSujet: ÉTRANGE   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:47

- Questions sans réponses -

"Les questions sans réponses sont-elles plus redoutables que les réponses que personne ne remet en question ?"
(lu dans un forum)

"Malgré l'audition d'innombrables témoins et la présentation par la commission d'enquête d'un rapport de plusieurs milliers de pages, nous avons à présent autant de preuves pour corroborer la version officielle de ce qui s'est passé le 11 septembre entre huit et dix heures du matin, que nous en avons pour prouver l'existence des armes irakiennes de destruction massive - à savoir strictement aucune."
(Christian C. Walther - journaliste allemand,
auteur des livres 119 Questions sur le 11 / 9 et Der zensierte Tag - Journée censurée)


BEN LADEN DISPOSAIT-IL DES MOYENS NÉCESSAIRES POUR PERPÉTRER DE TELS ATTENTATS ?

Bien sûr, nous dit-on. Sa fortune personnelle, son organisation Al-Qaïda, une multitude de partisans fanatiques et disciplinés, une longue expérience terroriste sont là pour nous convaincre. Vraiment ?...

Si l'on considère les principales actions imputables à Ben Laden et plus ou moins revendiquées* par lui:

  • Kénya et Tanzanie (août 1998) : 224 morts civils - dont 12 Américains - lors des attaques contre les ambassades US dans ces pays
  • Arabie Saoudite (novembre 1995 et juin 1996) : attentats à la bombe à Riyadh (quartier général de l'armée US) et à Dharan (tours abritant du personnel militaire américain) - 24 soldats tués
  • Somalie (octobre 1993) : 18 soldats américains tués alors qu'ils participaient à une agression militaire ayant coûté la vie à 500 Somaliens (qui étaient les terroristes ?)
on constate qu'elles sont loin - très loin - de correspondre à ce qui s'est produit le 11 septembre 2001. Nous sommes maintenant à un tout autre niveau, tant quantitatif que qualitatif. Il ne s'agit plus de voitures piégées, d'attentats-suicides isolés ou d'une contre-offensive militaire dans un pays tiers, mais d'actions simultanées en territoire américain, exigeant une planification et une coordination extrêmement complexes ainsi qu'une logistique et une discrétion sans faille. Seuls des Etats d'une certaine importance - mais certainement pas l'Afghanistan - disposent des ressources indispensables pour mener à bien des opérations aussi sophistiquées.

* Pour plus de détails, voir notre page Des coupables vite trouvés. Pour ce qui est des autres attentats dont Washington accuse Ben Laden (World Trade Center 1993, Yémen 2000), OBL nie toute participation.

L'ennemi public numéro un vit, paraît-il, caché au fond d'une grotte des montagnes afghanes. Y disposerait-il d'installations souterraines équipées de matériel de pointe, comme on en voit dans les films de James Bond ? Serait-il parvenu à les mettre en place sans attirer l'attention des satellites espions US ?... Le journaliste anglais Robert Fisk, qui a rencontré Ben Laden plusieurs fois en Afghanistan à la fin des années 1990, rapporte qu'OBL était presque complètement coupé du reste du monde et qu'il ne savait pas grand-chose de l'actualité internationale. Il s'était jeté avec avidité sur les journaux libanais que Fisk avait apportés et les avait lus pendant près d'une demi-heure à la lueur d'une lampe à gaz.

Toutes les communications électroniques étant bien entendu surveillées par les services américains ( réseau Echelon de la NSA ), on imagine sans peine que la transmission ou la réception de messages dans de telles conditions ne doit pas être très différente de ce qu'elle était au 19ème siècle.

Ben Laden et ses hommes auraient donc - depuis leur caverne afghane - organisé et fait exécuter les crimes du 11 septembre ?... C'est, toutes proportions gardées, comme si des petits truands de banlieue spécialisés dans le vol à la tire parvenaient soudain à subtiliser la Joconde : il faut beaucoup de bonne volonté pour le croire...

Mais la chose est évidemment différente si, pour des raisons obscures, un des petits truands en question reçoit de source inconnue l'aide et l'appui nécessaires, ou si tel ou tel responsable ou initié ferme les yeux à bon escient pour permettre que s'accomplisse le forfait. Quant à savoir qui et dans quelles conditions, c'est une autre affaire. Manipulation, mystification et provocation sont des armes politiques qui ont fait leur preuve; elles constituent le pain quotidien des services secrets.

Rien ne prouve, toutefois, que des islamistes aient effectivement été impliqués de près ou de loin dans les attentats du 11 septembre.

L'opinion d'Andreas von Bülow, ancien ministre allemand.

POURQUOI LES ORGANES DE SÉCURITÉ N'ONT-ILS RIEN REMARQUÉ ?


  • Des dizaines, voire des centaines de comploteurs parfaitement organisés préparent des mois durant le mauvais coup du siècle sans attirer le moins du monde l'attention des nombreux services chargés de les traquer.
  • Un certain nombre de terroristes dont les noms sont connus - mais n'apparaissent pas sur les listes de passagers - parviennent à déjouer simultanément les contrôles de trois aéroports différents.
Est-ce vraiment possible sans complicité interne à un niveau élevé ? Ou avons-nous tout simplement affaire à une supercherie ?

LES "FAIBLESSES" DU CONTRÔLE AÉRIEN ET DE LA DÉFENSE MILITAIRE :

Grâce au transpondeur, tout avion civil transmet automatiquement ses coordonnées au contrôle aérien, lequel est placé, aux Etats-Unis, sous la responsabilité de la FAA (Federal Aviation Administration). Dès qu'un appareil dévie de son plan de vol, les contrôleurs le mettent en garde. Si le pilote ne réagit pas immédiatement, l'alerte est donnée. Même chose si le transpondeur est débranché. La FAA travaille en étroite coopération avec la défense aérienne militaire: US Air Force et NORAD (North American Aerospace Defense Command).

Selon les déclarations officielles, que s'est-il passé le 11 septembre ?

A 8 h 20, le premier avion (AA 11 Boston-Los Angeles) se trouve au-dessus d'Albany, à quelque 250 km au nord de la ville de New York. Au lieu de maintenir le cap en direction de l'ouest, l'appareil effectue un virage à 90 degrés vers le sud. L'US Air Force aurait dû être au courant de cette anomalie quelques instants plus tard, soit vingt-cinq minutes avant le premier crash. De deux choses l'une : ou bien les mesures de sécurité valables en pareil cas n'ont pas fonctionné (pour quelle raison ?), ou bien les événements ne se sont pas du tout déroulés comme on nous le décrit.

le 11 septembre 2001 Vols_11_9
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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:49

Peu avant neuf heures, nouvelle anomalie: le deuxième avion (UA 175 Boston-Los Angeles) dont l'itinéraire de vol passe plus au sud, est à quelques dizaines de kilomètres à l'ouest de New York, mais au lieu de poursuivre sa route, il dévie vers le sud, puis vers le nord-est en direction du WTC. Le premier crash a eu lieu dix minutes plus tôt; la FAA et l'US Air Force sont censées être en état d'alerte depuis trente-cinq minutes. Et pourtant, rien n'est fait pour empêcher une répétition de la catastrophe.

A peu près à la même heure (quelques minutes avant neuf heures), le troisième avion (AA 77 Washington-Los Angeles) qui survole alors le sud de l'Ohio, fait subitement demi-tour. Là non plus, personne ne semble prendre la chose au sérieux. L'appareil parcourt sans encombre les 500 kilomètres qui le séparent de la capitale et s'écrase sur le Pentagone quarante minutes plus tard. Une heure et quinze minutes se sont écoulées depuis la première alerte. Ce n'est que quelques minutes après que les premiers chasseurs décollent de l'Andrews AFB, une base militaire située à quinze kilomètres du Pentagone et dont le rôle est de protéger le siège du gouvernement.

Vers 9 h 25, le quatrième avion (UA 93 Newark-San Francisco), se trouve au sud de Cleveland, Ohio, lorsqu'il fait lui aussi un demi-tour presque complet, direction Washington. Il terminera sa course 45 minutes plus tard dans une zone rurale de Pennsylvanie, à 250 km de la capitale, une heure et cinquante minutes après la toute première alerte.

Est-il concevable que le système de défense de l'unique superpuissance mondiale ait montré de telles "lacunes" ? Si tel avait été le cas, gageons que bien des têtes seraient tombées. Il en fallait beaucoup moins pour que les responsables soient accusés de haute trahison et traduits devant des tribunaux militaires. Pourtant, il n'en a rien été : personne ne semble avoir été sanctionné, pas même le moindre petit lampiste. Qui a donné l'ordre de non-intervention ?... (Intercepter des appareils civils "dévoyés" est chose courante pour l'armée de l'air américaine. Rien qu'en 2001, avant le 11 septembre, on a enregistré 62 opérations de ce genre. Jamais le délai d'intervention n'a excédé dix à quinze minutes.)

Sur son site Internet, la FAA se décerne elle-même des lauriers pour son action du 11 septembre, menée selon elle avec ingéniosité, compétence et audace ("ingenuity, skill and guts"). Bien sûr, elle ne fait pas allusion à ce qui s'est passé entre 8 h 20 et 10 h 10 ce matin-là, mais au fait qu'elle ait "réussi à faire atterrir en toute sécurité les 4500 avions qui se trouvaient dans l'espace aérien des Etats-Unis" lorsque celui-ci a été fermé à tout trafic, une fois que tout était terminé.

Lire l'interview de Jared Israel (The Emperor's New Clothes): What Really Happened on 9-11 ?

Les "faiblesses" du contrôle aérien s'expliquent lorsqu'on lit l'article suivant du Réseau Voltaire : Dick Cheney et les simulations d'attaques du 11 septembre (d'après Michael C. Ruppert, From the Wilderness). La méthode qui consiste à exécuter des attentats terroristes sous couvert "d'exercices d'alertes" ne semble d'ailleurs pas être limitée au 11 septembre : voir les attentats de Londres (7 juillet 2005).

Dans une lettre au journal Cincinnati Post, le sergent Lauro J. Chavez, affecté en 2001-2002 à l'USCENTCOM (United States Central Command) de la Mac Dill Air Force Base de Tampa (Floride), explique qu'il était de service le 11 septembre et qu'un "exercice" avait justement lieu ce jour-là dans le but de "simuler" des attaques terroristes à l'aide d'avions détournés. Cibles prévues : la base de Tampa, le WTC, le Pentagone, la Maison Blanche et la Tour Sears de Chicago. Quelques mois auparavant, la direction des opérations du NORAD avait été confiée au "vice-président" Dick Cheney, alors que ce rôle échoit normalement à un militaire. Après que le premier avion se soit écrasé contre le WTC, l'ordre fut donné par Cheney de ne pas faire décoller les chasseurs chargés de la protection de la capitale.

Selon Webster G. Tarpley (voir plus bas le lien vers son ouvrage sur le 11/9), pas moins de quinze "exercices" militaires avaient lieu ce jour-là de l'Alaska à la Floride. But inavoué : paralyser la défense aérienne et brouiller les pistes. "Les opérations terroristes du 11/9 n'ont pas simplement été facilitées ou tolérées, mais bien fabriquées et produites, par des activités organisées se déroulant à l'intérieur de la bureaucratie militaire et sécuritaire étasunienne, sous couvert de manoeuvres en théorie légales et autorisées... Le principe directement en jeu ici est que les terroristes d'Etat qui souhaitent mener une opération illégale trouvent souvent éminemment avantageux de canaliser ou d'organiser cette opération au moyen d'un exercice qui ressemble de près à l'opération illégale ou qui la reproduit. Une fois que tout le mécanisme est en place, des changements apparemment minimes suffisent pour que l'exercice devienne réalité et se transforme en une véritable hécatombe."
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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:51

À BORD DES AVIONS :

Comment sait-on que les avions ont été détournés ? Les seules "preuves" reposent sur des appels téléphoniques effectués par certains des passagers. L'appel de Barbara Olson, une commentatrice de CNN qui se trouvait à bord du vol AA 77 (Pentagone), est décisif pour la version officielle des faits. Malheureusement, il est fortement sujet à caution. Barbara Olson, dont on nous dit qu'elle avait oublié chez elle son téléphone portable et ses cartes de crédit, aurait passé un coup de fil en PCV à son mari, Theodore Olson, qui est procureur général des USA*. Or, il est techniquement impossible d'utiliser les téléphones de bord encastrés dans les dossiers des sièges, sans y introduire au préalable une carte de crédit. Un appel en PCV est par conséquent inutile et exclu. En outre, le fait qu'un indice aussi essentiel nous soit communiqué par un homme proche du pouvoir peut paraître pour le moins étrange, quand on songe à la manie du secret qui prévaut dans tous les domaines. On ne serait pas étonné d'apprendre qu'il s'agit là d'une "fuite" intentionnelle. Pour ce qui est des autres appels, provenant paraît-il de téléphones portables, il est plus que douteux que de telles communications soient réalisables depuis un avion volant à 10.000 mètres d'altitude, à la vitesse de 800 km/h - voir les résultats de tests effectués par le professeur canadien A. K. Dewdney. **

Si la version officielle est vraie, comment des hommes armés de couteaux en plastique ou de cutters ont-ils pu s'emparer de quatre avions ? Et si d'autres armes ont été utilisées, qui les a placées à bord ?

Comment trouver quatre candidats au suicide capables de piloter des Boeing ? Quelques heures de vol sur un Cessna ne devraient pas suffire, d'autant que les écoles américaines où les mystérieux kamikazes ont, semble-t-il, pris des leçons s'accordent à souligner leur manque total d'aptitude. Si des "terroristes arabes" étaient vraiment aux commandes des avions du 11 septembre, quelle compagnie aérienne, quelle armée de l'air a assuré leur formation ?

Pourquoi les pilotes n'ont-ils pas alerté le contrôle aérien dès que les détournements se sont produits ?

* Avant d'occuper cette fonction, Olson a été avocat. Parmi ses clients, on compte l'ancien président Reagan, l'espion israélien Pollard et... George Bush (novembre 2000, procédure de légalisation du coup de force électoral de Floride). Olson a en outre joué un rôle assez important dans diverses affaires mettant en cause le président Clinton (Whitewater, Paula Jones, Monica Lewinsky).

** Le 19 juillet 2004, le journal USA Today annonce que la compagnie Qualcomm vient d'expérimenter avec succès, à bord d'un avion d'American Airlines, une technologie nouvelle qui permettra enfin aux passagers d'utiliser leur portable pour communiquer avec le sol. La chose est possible grâce à un dispositif nommé Pico cell, qui remplit la même fonction qu'une tour cellulaire. La connexion s'établit via satellite. Vrai de vrai, on n'arrête pas le progrès... (Et pourtant, trois ans plus tôt, les passagers d'American Airlines - et ceux d'United - téléphonaient déjà sans le moindre problème depuis les avions "détournés" - sans Pico et sans satellite...)
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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:53

Et encore trois ans plus tard :
le 11 septembre 2001 Mobile_soon

La bonne nouvelle

POURQUOI L'ENQUÊTE DU FBI A-T-ELLE ÉTÉ SABOTÉE ?

Quelques mois après les attentats, on a reproché au FBI, la police fédérale américaine, d'avoir négligé de nombreuses pistes et de ne pas avoir tenu compte de certaines mises en garde. En fait, en y regardant de plus près, on est presque porté à croire que le FBI est le seul service officiel qui ait fait à peu près correctement son "travail", mais que quelqu'un qui "en savait plus" est intervenu pour mettre fin à ces activités gênantes:

  • Toute investigation concernant les membres de la famille et du groupe Ben Laden a été tuée dans l'oeuf. Les intéressés ont pu quitter discrètement le pays sans être inquiétés. Voir cet article du Guardian et ces autres liens. Michael Moore en parle dans son film Fahrenheit 911.
  • Des fonctionnaires subalternes du FBI qui ont eu vent de certains préparatifs et les ont signalés à leurs supérieurs, n'ont pas été écoutés ou ont été priés de s'occuper d'autre chose. Comme le pense Andreas von Bülow, auteur du livre La CIA et le 11 septembre, cette passivité forcée face aux menées suspectes de militants islamistes couverts en haut lieu, a permis aux comploteurs de mettre en place en toute tranquillité les "indices" suggérant une culpabilité d'Al-Qaïda.
  • L'arrestation de suspects israéliens n'a été que de courte durée. Tous ont été remis en liberté, ont pu regagner leur pays, ou sont restés aux Etats-Unis. On ne touche pas au Mossad. Lire les détails dans cet article du journal juif new-yorkais Forward. (Cinq ressortissants israéliens "travaillant" pour une entreprise de déménagement leur servant de couverture, ont été arrêtés à Weehawken, dans le New Jersey, face à Manhattan, alors qu'ils fêtaient bruyamment l'attentat contre le WTC. Ce que Forward ne dit pas : c'est un certain Michael Chertoff, ministre de la "Justice" du New Jersey qui a fait relâcher les suspects. Chertoff deviendra en 2005 le patron de la Homeland Security. Et il est, lui aussi, sujet israélien. On voit que la "sécurité" des Etats-Unis est en bonnes mains.)

    Wayne Madsen, un des rares journalistes investigateurs américains de l'après-11 septembre, est connu pour ses enquêtes extrêmement minutieuses portant sur des questions bien précises. Dans cet article, The Israeli Art Students and Movers Story, il analyse en profondeur l'implication israélienne dans les attentats : déménageurs bidons, pseudo-étudiants des Beaux-Arts et autres "marchands de jouets", fichiers informatiques effacés "par inadvertance", bandes vidéo manipulées, espionnage électronique par l'entremise de sociétés israéliennes établies aux USA, activités suspectes, censure, pressions du lobby sioniste, etc... Quand des "terroristes arabes" sont quelque part, les tireurs de ficelles du Mossad ne sont pas loin. Ce très long article - plus de 400 ko - constitue une mine d'informations sur le sujet. Après l'avoir lu, il est impossible - à moins d'être de mauvaise foi - de nier la complicité des services israéliens dans les atrocités du 11 / 9.
Dans une étude très détaillée, le Center for Cooperative Research - CCR - fait le point sur les "enquêtes" officielles et autres (Congrès, FBI, Bourse de New York, Commission de sécurité des transports, Commission indépendante, familles des victimes, etc.) : 9 / 11 Investigations. L'auteur en conclut que certains éléments du gouvernement américain sont complices d'une manière ou d'une autre, qu'Israël est mêlé aux attentats, qu'une véritable investigation reste à faire et que l'affirmation selon laquele il serait antipatriotique de mettre en cause le gouvernement est tout simplement ridicule.

Lire également les analyses très détaillées du CCR sur l'implication du Mossad dans les attentats : Possible Israeli foreknowledge of 9 / 11 attacks, sur la contestation publique du rôle du gouvernement américain dans ces événements : Mainstream Dissent, et sur l'absurdité de la "piste Ben Laden" : Criticisms of US official explanation of 9 / 11.

L'HEURE CHOISIE POUR LES ATTENTATS :

On sait que les attentats ont eu lieu relativement tôt le matin:

  • Au World Trade Center, comme ailleurs dans le district financier de New York, les bureaux ne se remplissaient vraiment que vers 9 h 30 - 10 h 00. Quand on sait que 50.000 personnes travaillaient dans les tours jumelles, sans compter les nombreux visiteurs et touristes, il est clair que si les terroristes avaient frappé une ou deux heures plus tard, il y aurait eu beaucoup plus de victimes. Et parmi ces victimes, on n'aurait pas seulement compté des gens modestes (petits employés, secrétaires, gardiens, personnel de nettoyage...) mais aussi tel ou tel dirigeant de société importante* ou autre personnage haut placé.
  • Même chose au Pentagone où 25.000 personnes "travaillent" en temps normal - si l'on peut qualifier de "travail" le fait de préparer les prochaines agressions militaires (dont celles contre l'Afghanistan et l'Irak). Même en tenant compte du fait que la chute d'un avion sur un édifice aussi étendu (périmètre de 5 x 300 m) ne peut causer que des dégâts partiels, il est permis de penser que le nombre de victimes aurait été beaucoup plus élevé si une autre heure avait été choisie. Et peut-être aurait-on compté parmi ces victimes quelques officiers supérieurs ou généraux, ce qui n'est pas le cas. En fait, la section touchée est à l'opposé de l'endroit où se trouvent les bureaux du ministre et du chef d'état-major. Quoi qu'il en soit, les circonstances de l'attentat contre le Pentagone s'avèrent si mystérieuses qu'on peut même légitimement douter qu'un Boeing s'y soit écrasé (voir plus bas).
  • Les quatre avions du 11 septembre ne transportaient que peu de passagers. Le Boeing 757 comporte environ 180 places; le Boeing 767, selon les versions, en compte entre 220 et 260. Il est étonnant que United et American Airlines effectuent des vols transcontinentaux à 30 % de leur capacité. L'heure relativement matinale de ces vols suffit-elle à expliquer la chose ? Curieusement, pour le Bureau of Transportation Statistics du ministère des Transports, le vol AA 11 (tour nord du WTC) n'a pas eu lieu le matin du 11 septembre, pas plus d'ailleurs que le vol AA 77 (Pentagone) - détails.
Il faut croire que les hommes de Ben Laden, bien que réputés sans scrupules, ont fait preuve d'une certaine "retenue", tuant "seulement" 3.000 personnes alors qu'ils auraient pu, sans effort supplémentaire, en occire bien davantage. En outre, les tueurs islamistes semblent posséder une conscience de classe assez développée, à défaut de conscience tout court, puisqu'ils prennent bien soin d'épargner les "élites" du monde des affaires et de l'armée. Etranges terroristes que ces terroristes-là...

[size=7]* Le 11 septembre, les principaux PDG de grandes sociétés du World Trade Center étaient en conférence à Offutt (Nebraska), à l'invitation du multimilliardaire Warren Buffett. George W. Bush vint se joindre à eux dans l'après-midi (voir plus bas).
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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:54

L'EFFONDREMENT DES TOURS DU WORLD TRADE CENTER :

L'effondrement des deux tours de 110 étages est trop "méthodique" et n'a pu être causé par le crash des Boeing. C'est ce qu'avance dès le 11 septembre un spécialiste de la question, Van Romero, directeur du New Mexico Institute of Mining and Technology. Cela ressemble à une implosion contrôlée, provoquée par des charges explosives disposées à des emplacements "stratégiques" - une méthode généralement utilisée pour la démolition de vieux gratte-ciel. Lire les détails

Les terroristes ont-ils voulu ainsi "parfaire leur ouvrage" et effacer des traces gênantes ? Le fait est que la chose complique toute enquête éventuelle et soulève de nouvelles questions :

  • Comment a-t-il été possible d'introduire et de mettre en place des explosifs dans un édifice surveillé ayant déjà fait l'objet d'un attentat à la bombe quelques années auparavant ?
  • N'est-ce pas faire trop d'honneur à Ben Laden et à son Al-Qaïda que de leur attribuer de telles capacités ? Qui a agi en leur nom ?
(Van Romero a par la suite fortement "nuancé" ses déclarations. Inutile d'être devin pour imaginer les pressions qu'il a dû subir - son institut reçoit 10 millions de dollars de subventions fédérales par an.)

L'explication technique donnée pour justifier l'effondrement des tours (les poutres d'acier auraient fondu ou cédé sous l'effet de la chaleur) semble passablement fantaisiste. La chaleur dégagée par l'incendie* n'a pas été suffisante pour produire un tel effet, d'autant plus qu'une grande partie du carburant a brûlé à l'extérieur des édifices, comme le montrent les photos. En outre, si la destruction d'une partie de l'ossature des tours a pu faire céder les étages qui se trouvaient au-dessus, elle n'explique pas que l'ensemble se soit écroulé comme un château de cartes en l'espace de quelques dizaines de secondes. Lire à ce sujet un article de J. McMichael

* La température dégagée par la combustion du kérosène et de tout ce qui se trouvait dans les bureaux du WTC n'a sans doute pas dépassé les 600-700 degrés C. A cette température, l'acier (dont le point de fusion est de 1.500 degrés) perd une bonne partie de sa rigidité. Mais même en considérant le fait que la structure métallique des étages directement touchés par le crash était partiellement endommagée, il est loin d'être certain que la température, la durée et l'étendue de l'incendie aient été suffisantes pour déformer et faire céder les poutres restées intactes. Il est probable en tout cas que la déformation de celles-ci aurait été assez lente et qu'il n'y aurait pas eu d'effondrement subit.
Lire ici des extraits du livre Time for Painful Questions d'Eric Hufschmid (format pdf) - cliquer ici pour convertir les températures


La charpente d'acier d'un gratte-ciel est suffisamment rigide et résistante pour supporter s'il le faut le double ou même le triple du poids total de l'édifice (marge de sécurité). Bien sûr, une telle surcharge n'est pas conseillée, mais elle est possible. Dans le cas du WTC, la charpente était constituée, d'une part, par les 240 colonnes verticales caractéristiques de la façade, disposées à raison d'une par mètre et reliées entre elles par des poutres horizontales, et d'autre part par les colonnes de métal du noyau central contenant les cages d'ascenseurs (ce noyau occupant un quart de la surface de chaque plancher). Bien entendu, des poutres tranversales supportant les planchers reliaient noyau central et façade extérieure, assurant ainsi une parfaite stabilité de l'ensemble.

Même en supposant que les étages supérieurs de chacune des deux tours jumelles (c'est-à-dire en gros les niveaux 80 à 110 - soit 30 étages - pour la tour Nord, et 70 à 110 - soit 40 étages - pour la tour Sud) se soient effondrés de manière "naturelle" à la suite du crash et de l'incendie (la chose reste à prouver), les étages inférieurs (au nombre de 80 et 70 respectivement, plus 10 étages de fondations) pouvaient parfaitement supporter la surcharge, puisque leur ossature métallique était encore intacte (à moins de penser, comme certains n'hésitent pas à le faire, que l'incendie des étages supérieurs ait pu fragiliser ou rendre "malléable" cette ossature des 70 ou 80 étages restants, ce qui serait non seulement contraire aux lois de la physique mais aussi en totale contradiction avec les témoignages des pompiers - voir un peu plus bas l'article La vérité commence à poindre).

Lorsque les 30 étages supérieurs de la tour Nord se sont affaissés sur les 80 étages restants, ces derniers ont été soumis "collectivement" à une surcharge (théorique) d'environ 37 %, puisqu'ils ont dû supporter à eux seuls le poids de l'ensemble de la tour (110 étages). Dans le cas de la tour Sud, l'excédent de poids (théorique) à été de 57 %. En tenant compte des fondations, ces pourcentages sont encore plus faibles (respectivement 33 et 50 %). Certes, ces chiffres ne tiennent pas compte de tous les facteurs ; ils sont approximatifs mais donnent néanmoins un ordre de grandeur. La surcharge à supporter par la charpente métallique intacte des étages inférieurs du WTC n'était donc pas aussi dramatique qu'on veut nous le faire croire.

Pour ce qui est des planchers, on peut à la rigueur imaginer qu'ils aient cédé un par un sous le poids en rompant leurs attaches avec le squelette d'acier. Mais, sans un "petit coup de pouce", ce phénomène ne pouvait pas se produire de manière systématique et régulière au rythme de plusieurs étages par seconde jusqu'à la base des tours. Et surtout, les colonnes de la façade et du noyau central (toutes encore intactes après le crash) n'auraient pas pu suivre le mouvement. Une très grande partie du squelette aurait dû rester debout, déformée sans doute mais encore debout.

Qu'un gratte-ciel puisse s'effondrer comme le WTC, cela ne s'est encore jamais vu - et pourtant on en construit depuis plus d'un siècle. Si la chose était possible, il faudrait définitivement renoncer à ériger ce type d'édifice (pour des raisons évidentes de sécurité). D'autre part, les entreprises de démolition disposeraient désormais d'une nouvelle technique absolument révolutionnaire : il suffirait de faire sauter quelques étages dans la partie supérieure d'une tour, et tout le reste suivrait bien gentiment une heure plus tard. La méthode est-elle déjà brevetée ?...

Selon un des architectes du World Trade Center, les tours avaient été conçues, à la fin des années 1960, pour résister au crash d'un Boeing 707-340, le plus gros avion en service à l'époque. Les 767 impliqués sont à peine plus grands et plus lourds, leur vitesse de croisière est inférieure, la capacité des réservoirs de carburant est la même.

S'il s'était agi, le 11 septembre, d'une "catastrophe naturelle" et non d'un attentat politique, on aurait, après évacuation et tentative de sauvetage des occupants des étages supérieurs, condamné l'accès aux tours, transporté les débris en lieu sûr, entrepris une enquête et réfléchi à la possibilité d'une reconstruction. En tout cas, des ruines imposantes auraient subsisté encore longtemps dans le ciel de Manhattan. Mais il n'y a pas eu de "catastrophe naturelle", et les tours jumelles ont été entièrement détruites.

"Pour des raisons d'hygiène et de sécurité", les autorités ont fait procéder sans attendre au déblaiement et au nettoyage du Ground Zero. La "ferraille" du WTC a été vendue à des entreprises indiennes, chinoises ou coréennes, sans entreprendre aucun examen sérieux, ni aucune investigation matérielle à la mesure des événements.* Il y a eu destruction volontaire - et criminelle - de pièces à conviction. Les "coupables" étant connus d'avance, tout ce qui risquait de perturber ou de contredire la version officielle devait disparaître au plus vite.

* On a parfois prétendu, pour justifier cette inactivité, qu'un examen matériel des poutres métalliques et autres débris du WTC était parfaitement inutile, puisque les spécialistes étaient tout à fait en mesure de déterminer les causes et le déroulement de la catastrophe en effectuant une modélisation informatique... Si tous les accidents mystérieux et toutes les affaires criminelles pouvaient se résoudre de cette façon-là, on pourrait se passer de beaucoup de policiers et d'experts en criminalistique. Il suffirait de quelques ordinateurs et de logiciels appropriés - logiciels qui nous livreraient les réponses pour lesquelles ils auraient été programmés. A la limite, la simulation informatique conduit à des résultats aussi cocasses que ceux de la "reconstitution du crash" du Pentagone effectuée par l'Université Purdue (voir plus bas).

En mars 2006, le Landmark Tower de Fort Worth (Texas) s'écroule de la même façon que le WTC de New York, sans Boeing mais avec des charges explosives placées au bon endroit - les mêmes causes produisent les mêmes effets...

The 9/11 Operation : A Summary - un résumé très plausible (sur un site finlandais).



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MessageSujet: Re: le 11 septembre 2001   le 11 septembre 2001 EmptyJeu 11 Sep 2008 - 8:55

Si l'effondrement des Twin Towers soulève bien des questions, l'écroulement d'un édifice voisin de 47 étages (Building # 7), plus de huit heures après l'attentat, est plus surréaliste encore. L'implosion subite de l'immeuble, analogue à celle des tours jumelles, serait due, paraît-il, à un incendie déclenché par des débris enflammés provenant de la tour nord, incendie que les pompiers ne seraient pas parvenus à maîtriser.

Il est déjà arrivé aux Etats-Unis que des gratte-ciel soient détruits par les flammes, par exemple le Meridian Plaza de Philadelphie en 1991, la First Interstate Bank de Los Angeles en 1988 ou le One New York Plaza en 1970 (voir les détails). Mais jamais encore un incendie n'avait provoqué la chute d'une tour. Et pourtant à Philadelphie, le feu avait fait rage pendant 18 heures. (En février 2005, la tour Windsor de Madrid - 32 étages - brûle pendant plus de 24 heures sans s'écrouler.)

C'est sans doute dans le cas du Building # 7 que la supercherie officielle est la plus criante. Mais c'est aussi malheureusement là que l'invraisemblable thèse gouvernementale passe le plus facilement car le monde entier se concentre sur les tours jumelles.

Le propriétaire du WTC # 7 était le multimilliardaire Larry Silverstein, magnat new-yorkais de l'immobilier et un des grands profiteurs du 11 septembre.

L'édifice abritait, outre le siège de Silverstein Properties, diverses banques et compagnies d'assurances, les bureaux de la commission de contrôle des opérations de bourse, des locaux (clandestins) du Secret Service, le bunker de commandement de l'office de lutte anti-catastrophe de la mairie de New York, et un réservoir de carburant de 24.000 litres situé juste au-dessus du rez-du-chaussée et destiné à alimenter en cas de besoin les groupes électrogènes du bunker du 23ème étage.

Le site 9-11 Research, très documenté, analyse tous les détails (notamment techniques) des attentats du WTC : indispensable pour se faire une idée précise de ce qui a pu se passer ce jour-là.

Lire aussi : La vérité commence à poindre

Voir également cet article du Réseau Voltaire : Rumsfeld connaissait à l'avance les plans du 11 septembre

Quatre ans après les attentats, Steven E. Jones, professeur de physique à l'Université Brigham Young (Utah, USA) parvient lui aussi à la conclusion que l'effondrement des tours du WTC est un cas de "démolition contrôlée". Il est soutenu par 60 de ses collègues. Steven Jones explique ici pourquoi et comment les bâtiments du WTC se sont effondrés (traduction française de Pétrus Lombard).
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