| | BEN LADEN DISPOSAIT-IL DES MOYENS NÉCESSAIRES | |
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Invité Invité
| Sujet: BEN LADEN DISPOSAIT-IL DES MOYENS NÉCESSAIRES Jeu 11 Sep 2008 - 9:06 | |
| BEN LADEN DISPOSAIT-IL DES MOYENS NÉCESSAIRES POUR PERPÉTRER DE TELS ATTENTATS ?Bien sûr, nous dit-on. Sa fortune personnelle, son organisation Al-Qaïda, une multitude de partisans fanatiques et disciplinés, une longue expérience terroriste sont là pour nous convaincre. Vraiment ?... Si l'on considère les principales actions imputables à Ben Laden et plus ou moins revendiquées* par lui:
Kénya et Tanzanie (août 1998) : 224 morts civils - dont 12 Américains - lors des attaques contre les ambassades US dans ces pays Arabie Saoudite (novembre 1995 et juin 1996) : attentats à la bombe à Riyadh (quartier général de l'armée US) et à Dharan (tours abritant du personnel militaire américain) - 24 soldats tués Somalie (octobre 1993) : 18 soldats américains tués alors qu'ils participaient à une agression militaire ayant coûté la vie à 500 Somaliens (qui étaient les terroristes ?)
on constate qu'elles sont loin - très loin - de correspondre à ce qui s'est produit le 11 septembre 2001. Nous sommes maintenant à un tout autre niveau, tant quantitatif que qualitatif. Il ne s'agit plus de voitures piégées, d'attentats-suicides isolés ou d'une contre-offensive militaire dans un pays tiers, mais d'actions simultanées en territoire américain, exigeant une planification et une coordination extrêmement complexes ainsi qu'une logistique et une discrétion sans faille. Seuls des Etats d'une certaine importance - mais certainement pas l'Afghanistan - disposent des ressources indispensables pour mener à bien des opérations aussi sophistiquées. * Pour plus de détails, voir notre page Des coupables vite trouvés. Pour ce qui est des autres attentats dont Washington accuse Ben Laden (World Trade Center 1993, Yémen 2000), OBL nie toute participation. L'ennemi public numéro un vit, paraît-il, caché au fond d'une grotte des montagnes afghanes. Y disposerait-il d'installations souterraines équipées de matériel de pointe, comme on en voit dans les films de James Bond ? Serait-il parvenu à les mettre en place sans attirer l'attention des satellites espions US ?... Le journaliste anglais Robert Fisk, qui a rencontré Ben Laden plusieurs fois en Afghanistan à la fin des années 1990, rapporte qu'OBL était presque complètement coupé du reste du monde et qu'il ne savait pas grand-chose de l'actualité internationale. Il s'était jeté avec avidité sur les journaux libanais que Fisk avait apportés et les avait lus pendant près d'une demi-heure à la lueur d'une lampe à gaz. Toutes les communications électroniques étant bien entendu surveillées par les services américains ( réseau Echelon de la NSA ), on imagine sans peine que la transmission ou la réception de messages dans de telles conditions ne doit pas être très différente de ce qu'elle était au 19ème siècle. Ben Laden et ses hommes auraient donc - depuis leur caverne afghane - organisé et fait exécuter les crimes du 11 septembre ?... C'est, toutes proportions gardées, comme si des petits truands de banlieue spécialisés dans le vol à la tire parvenaient soudain à subtiliser la Joconde : il faut beaucoup de bonne volonté pour le croire... Mais la chose est évidemment différente si, pour des raisons obscures, un des petits truands en question reçoit de source inconnue l'aide et l'appui nécessaires, ou si tel ou tel responsable ou initié ferme les yeux à bon escient pour permettre que s'accomplisse le forfait. Quant à savoir qui et dans quelles conditions, c'est une autre affaire. Manipulation, mystification et provocation sont des armes politiques qui ont fait leur preuve; elles constituent le pain quotidien des services secrets. Rien ne prouve, toutefois, que des islamistes aient effectivement été impliqués de près ou de loin dans les attentats du 11 septembre. L'opinion d'Andreas von Bülow, ancien ministre allemand.
POURQUOI LES ORGANES DE SÉCURITÉ N'ONT-ILS RIEN REMARQUÉ ?
Des dizaines, voire des centaines de comploteurs parfaitement organisés préparent des mois durant le mauvais coup du siècle sans attirer le moins du monde l'attention des nombreux services chargés de les traquer. Un certain nombre de terroristes dont les noms sont connus - mais n'apparaissent pas sur les listes de passagers - parviennent à déjouer simultanément les contrôles de trois aéroports différents. Est-ce vraiment possible sans complicité interne à un niveau élevé ? Ou avons-nous tout simplement affaire à une supercherie ?
LES "FAIBLESSES" DU CONTRÔLE AÉRIEN ET DE LA DÉFENSE MILITAIRE :
Grâce au transpondeur, tout avion civil transmet automatiquement ses coordonnées au contrôle aérien, lequel est placé, aux Etats-Unis, sous la responsabilité de la FAA (Federal Aviation Administration). Dès qu'un appareil dévie de son plan de vol, les contrôleurs le mettent en garde. Si le pilote ne réagit pas immédiatement, l'alerte est donnée. Même chose si le transpondeur est débranché. La FAA travaille en étroite coopération avec la défense aérienne militaire: US Air Force et NORAD (North American Aerospace Defense Command).
Selon les déclarations officielles, que s'est-il passé le 11 septembre ?
A 8 h 20, le premier avion (AA 11 Boston-Los Angeles) se trouve au-dessus d'Albany, à quelque 250 km au nord de la ville de New York. Au lieu de maintenir le cap en direction de l'ouest, l'appareil effectue un virage à 90 degrés vers le sud. L'US Air Force aurait dû être au courant de cette anomalie quelques instants plus tard, soit vingt-cinq minutes avant le premier crash. De deux choses l'une : ou bien les mesures de sécurité valables en pareil cas n'ont pas fonctionné (pour quelle raison ?), ou bien les événements ne se sont pas du tout déroulés comme on nous le décrit.
Source: Time Magazine
Peu avant neuf heures, nouvelle anomalie: le deuxième avion (UA 175 Boston-Los Angeles) dont l'itinéraire de vol passe plus au sud, est à quelques dizaines de kilomètres à l'ouest de New York, mais au lieu de poursuivre sa route, il dévie vers le sud, puis vers le nord-est en direction du WTC. Le premier crash a eu lieu dix minutes plus tôt; la FAA et l'US Air Force sont censées être en état d'alerte depuis trente-cinq minutes. Et pourtant, rien n'est fait pour empêcher une répétition de la catastrophe.
A peu près à la même heure (quelques minutes avant neuf heures), le troisième avion (AA 77 Washington-Los Angeles) qui survole alors le sud de l'Ohio, fait subitement demi-tour. Là non plus, personne ne semble prendre la chose au sérieux. L'appareil parcourt sans encombre les 500 kilomètres qui le séparent de la capitale et s'écrase sur le Pentagone quarante minutes plus tard. Une heure et quinze minutes se sont écoulées depuis la première alerte. Ce n'est que quelques minutes après que les premiers chasseurs décollent de l'Andrews AFB, une base militaire située à quinze kilomètres du Pentagone et dont le rôle est de protéger le siège du gouvernement.
Vers 9 h 25, le quatrième avion (UA 93 Newark-San Francisco), se trouve au sud de Cleveland, Ohio, lorsqu'il fait lui aussi un demi-tour presque complet, direction Washington. Il terminera sa course 45 minutes plus tard dans une zone rurale de Pennsylvanie, à 250 km de la capitale, une heure et cinquante minutes après la toute première alerte.
Est-il concevable que le système de défense de l'unique superpuissance mondiale ait montré de telles "lacunes" ? Si tel avait été le cas, gageons que bien des têtes seraient tombées. Il en fallait beaucoup moins pour que les responsables soient accusés de haute trahison et traduits devant des tribunaux militaires. Pourtant, il n'en a rien été : personne ne semble avoir été sanctionné, pas même le moindre petit lampiste. Qui a donné l'ordre de non-intervention ?... (Intercepter des appareils civils "dévoyés" est chose courante pour l'armée de l'air américaine. Rien qu'en 2001, avant le 11 septembre, on a enregistré 62 opérations de ce genre. Jamais le délai d'intervention n'a excédé dix à quinze minutes.)
Sur son site Internet, la FAA se décerne elle-même des lauriers pour son action du 11 septembre, menée selon elle avec ingéniosité, compétence et audace ("ingenuity, skill and guts"). Bien sûr, elle ne fait pas allusion à ce qui s'est passé entre 8 h 20 et 10 h 10 ce matin-là, mais au fait qu'elle ait "réussi à faire atterrir en toute sécurité les 4500 avions qui se trouvaient dans l'espace aérien des Etats-Unis" lorsque celui-ci a été fermé à tout trafic, une fois que tout était terminé.
Lire l'interview de Jared Israel (The Emperor's New Clothes): What Really Happened on 9-11 ?
Les "faiblesses" du contrôle aérien s'expliquent lorsqu'on lit l'article suivant du Réseau Voltaire : Dick Cheney et les simulations d'attaques du 11 septembre (d'après Michael C. Ruppert, From the Wilderness). La méthode qui consiste à exécuter des attentats terroristes sous couvert "d'exercices d'alertes" ne semble d'ailleurs pas être limitée au 11 septembre : voir les attentats de Londres (7 juillet 2005).
Dans une lettre au journal Cincinnati Post, le sergent Lauro J. Chavez, affecté en 2001-2002 à l'USCENTCOM (United States Central Command) de la Mac Dill Air Force Base de Tampa (Floride), explique qu'il était de service le 11 septembre et qu'un "exercice" avait justement lieu ce jour-là dans le but de "simuler" des attaques terroristes à l'aide d'avions détournés. Cibles prévues : la base de Tampa, le WTC, le Pentagone, la Maison Blanche et la Tour Sears de Chicago. Quelques mois auparavant, la direction des opérations du NORAD avait été confiée au "vice-président" Dick Cheney, alors que ce rôle échoit normalement à un militaire. Après que le premier avion se soit écrasé contre le WTC, l'ordre fut donné par Cheney de ne pas faire décoller les chasseurs chargés de la protection de la capitale.
Selon Webster G. Tarpley (voir plus bas le lien vers son ouvrage sur le 11/9), pas moins de quinze "exercices" militaires avaient lieu ce jour-là de l'Alaska à la Floride. But inavoué : paralyser la défense aérienne et brouiller les pistes. "Les opérations terroristes du 11/9 n'ont pas simplement été facilitées ou tolérées, mais bien fabriquées et produites, par des activités organisées se déroulant à l'intérieur de la bureaucratie militaire et sécuritaire étasunienne, sous couvert de manoeuvres en théorie légales et autorisées... Le principe directement en jeu ici est que les terroristes d'Etat qui souhaitent mener une opération illégale trouvent souvent éminemment avantageux de canaliser ou d'organiser cette opération au moyen d'un exercice qui ressemble de près à l'opération illégale ou qui la reproduit. Une fois que tout le mécanisme est en place, des changements apparemment minimes suffisent pour que l'exercice devienne réalité et se transforme en une véritable hécatombe."
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| | | Invité Invité
| Sujet: À BORD DES AVIONS Jeu 11 Sep 2008 - 9:08 | |
| À BORD DES AVIONS :
Comment sait-on que les avions ont été détournés ? Les seules "preuves" reposent sur des appels téléphoniques effectués par certains des passagers. L'appel de Barbara Olson, une commentatrice de CNN qui se trouvait à bord du vol AA 77 (Pentagone), est décisif pour la version officielle des faits. Malheureusement, il est fortement sujet à caution. Barbara Olson, dont on nous dit qu'elle avait oublié chez elle son téléphone portable et ses cartes de crédit, aurait passé un coup de fil en PCV à son mari, Theodore Olson, qui est procureur général des USA*. Or, il est techniquement impossible d'utiliser les téléphones de bord encastrés dans les dossiers des sièges, sans y introduire au préalable une carte de crédit. Un appel en PCV est par conséquent inutile et exclu. En outre, le fait qu'un indice aussi essentiel nous soit communiqué par un homme proche du pouvoir peut paraître pour le moins étrange, quand on songe à la manie du secret qui prévaut dans tous les domaines. On ne serait pas étonné d'apprendre qu'il s'agit là d'une "fuite" intentionnelle. Pour ce qui est des autres appels, provenant paraît-il de téléphones portables, il est plus que douteux que de telles communications soient réalisables depuis un avion volant à 10.000 mètres d'altitude, à la vitesse de 800 km/h - voir les résultats de tests effectués par le professeur canadien A. K. Dewdney. ** Si la version officielle est vraie, comment des hommes armés de couteaux en plastique ou de cutters ont-ils pu s'emparer de quatre avions ? Et si d'autres armes ont été utilisées, qui les a placées à bord ? Comment trouver quatre candidats au suicide capables de piloter des Boeing ? Quelques heures de vol sur un Cessna ne devraient pas suffire, d'autant que les écoles américaines où les mystérieux kamikazes ont, semble-t-il, pris des leçons s'accordent à souligner leur manque total d'aptitude. Si des "terroristes arabes" étaient vraiment aux commandes des avions du 11 septembre, quelle compagnie aérienne, quelle armée de l'air a assuré leur formation ? Pourquoi les pilotes n'ont-ils pas alerté le contrôle aérien dès que les détournements se sont produits ? * Avant d'occuper cette fonction, Olson a été avocat. Parmi ses clients, on compte l'ancien président Reagan, l'espion israélien Pollard et... George Bush (novembre 2000, procédure de légalisation du coup de force électoral de Floride). Olson a en outre joué un rôle assez important dans diverses affaires mettant en cause le président Clinton (Whitewater, Paula Jones, Monica Lewinsky).
** Le 19 juillet 2004, le journal USA Today annonce que la compagnie Qualcomm vient d'expérimenter avec succès, à bord d'un avion d'American Airlines, une technologie nouvelle qui permettra enfin aux passagers d'utiliser leur portable pour communiquer avec le sol. La chose est possible grâce à un dispositif nommé Pico cell, qui remplit la même fonction qu'une tour cellulaire. La connexion s'établit via satellite. Vrai de vrai, on n'arrête pas le progrès... (Et pourtant, trois ans plus tôt, les passagers d'American Airlines - et ceux d'United - téléphonaient déjà sans le moindre problème depuis les avions "détournés" - sans Pico et sans satellite...) Lire également l'article de Michel Chossudovsky, un autre professeur canadien : More Holes in the Official Story - The 9/11 Cell Phone Calls Et encore trois ans plus tard : La bonne nouvelle POURQUOI L'ENQUÊTE DU FBI A-T-ELLE ÉTÉ SABOTÉE ?Quelques mois après les attentats, on a reproché au FBI, la police fédérale américaine, d'avoir négligé de nombreuses pistes et de ne pas avoir tenu compte de certaines mises en garde. En fait, en y regardant de plus près, on est presque porté à croire que le FBI est le seul service officiel qui ait fait à peu près correctement son "travail", mais que quelqu'un qui "en savait plus" est intervenu pour mettre fin à ces activités gênantes:
Toute investigation concernant les membres de la famille et du groupe Ben Laden a été tuée dans l'oeuf. Les intéressés ont pu quitter discrètement le pays sans être inquiétés. Voir cet article du Guardian et ces autres liens. Michael Moore en parle dans son film Fahrenheit 911. Des fonctionnaires subalternes du FBI qui ont eu vent de certains préparatifs et les ont signalés à leurs supérieurs, n'ont pas été écoutés ou ont été priés de s'occuper d'autre chose. Comme le pense Andreas von Bülow, auteur du livre La CIA et le 11 septembre, cette passivité forcée face aux menées suspectes de militants islamistes couverts en haut lieu, a permis aux comploteurs de mettre en place en toute tranquillité les "indices" suggérant une culpabilité d'Al-Qaïda. L'arrestation de suspects israéliens n'a été que de courte durée. Tous ont été remis en liberté, ont pu regagner leur pays, ou sont restés aux Etats-Unis. On ne touche pas au Mossad. Lire les détails dans cet article du journal juif new-yorkais Forward. (Cinq ressortissants israéliens "travaillant" pour une entreprise de déménagement leur servant de couverture, ont été arrêtés à Weehawken, dans le New Jersey, face à Manhattan, alors qu'ils fêtaient bruyamment l'attentat contre le WTC. Ce que Forward ne dit pas : c'est un certain Michael Chertoff, ministre de la "Justice" du New Jersey qui a fait relâcher les suspects. Chertoff deviendra en 2005 le patron de la Homeland Security. Et il est, lui aussi, sujet israélien. On voit que la "sécurité" des Etats-Unis est en bonnes mains.)
Wayne Madsen, un des rares journalistes investigateurs américains de l'après-11 septembre, est connu pour ses enquêtes extrêmement minutieuses portant sur des questions bien précises. Dans cet article, The Israeli Art Students and Movers Story, il analyse en profondeur l'implication israélienne dans les attentats : déménageurs bidons, pseudo-étudiants des Beaux-Arts et autres "marchands de jouets", fichiers informatiques effacés "par inadvertance", bandes vidéo manipulées, espionnage électronique par l'entremise de sociétés israéliennes établies aux USA, activités suspectes, censure, pressions du lobby sioniste, etc... Quand des "terroristes arabes" sont quelque part, les tireurs de ficelles du Mossad ne sont pas loin. Ce très long article - plus de 400 ko - constitue une mine d'informations sur le sujet. Après l'avoir lu, il est impossible - à moins d'être de mauvaise foi - de nier la complicité des services israéliens dans les atrocités du 11 / 9.
Dans une étude très détaillée, le Center for Cooperative Research - CCR - fait le point sur les "enquêtes" officielles et autres (Congrès, FBI, Bourse de New York, Commission de sécurité des transports, Commission indépendante, familles des victimes, etc.) : 9 / 11 Investigations. L'auteur en conclut que certains éléments du gouvernement américain sont complices d'une manière ou d'une autre, qu'Israël est mêlé aux attentats, qu'une véritable investigation reste à faire et que l'affirmation selon laquele il serait antipatriotique de mettre en cause le gouvernement est tout simplement ridicule. Lire également les analyses très détaillées du CCR sur l'implication du Mossad dans les attentats : Possible Israeli foreknowledge of 9 / 11 attacks, sur la contestation publique du rôle du gouvernement américain dans ces événements : Mainstream Dissent, et sur l'absurdité de la "piste Ben Laden" : Criticisms of US official explanation of 9 / 11. L'HEURE CHOISIE POUR LES ATTENTATS :On sait que les attentats ont eu lieu relativement tôt le matin:
Au World Trade Center, comme ailleurs dans le district financier de New York, les bureaux ne se remplissaient vraiment que vers 9 h 30 - 10 h 00. Quand on sait que 50.000 personnes travaillaient dans les tours jumelles, sans compter les nombreux visiteurs et touristes, il est clair que si les terroristes avaient frappé une ou deux heures plus tard, il y aurait eu beaucoup plus de victimes. Et parmi ces victimes, on n'aurait pas seulement compté des gens modestes (petits employés, secrétaires, gardiens, personnel de nettoyage...) mais aussi tel ou tel dirigeant de société importante* ou autre personnage haut placé. Même chose au Pentagone où 25.000 personnes "travaillent" en temps normal - si l'on peut qualifier de "travail" le fait de préparer les prochaines agressions militaires (dont celles contre l'Afghanistan et l'Irak). Même en tenant compte du fait que la chute d'un avion sur un édifice aussi étendu (périmètre de 5 x 300 m) ne peut causer que des dégâts partiels, il est permis de penser que le nombre de victimes aurait été beaucoup plus élevé si une autre heure avait été choisie. Et peut-être aurait-on compté parmi ces victimes quelques officiers supérieurs ou généraux, ce qui n'est pas le cas. En fait, la section touchée est à l'opposé de l'endroit où se trouvent les bureaux du ministre et du chef d'état-major. Quoi qu'il en soit, les circonstances de l'attentat contre le Pentagone s'avèrent si mystérieuses qu'on peut même légitimement douter qu'un Boeing s'y soit écrasé (voir plus bas). Les quatre avions du 11 septembre ne transportaient que peu de passagers. Le Boeing 757 comporte environ 180 places; le Boeing 767, selon les versions, en compte entre 220 et 260. Il est étonnant que United et American Airlines effectuent des vols transcontinentaux à 30 % de leur capacité. L'heure relativement matinale de ces vols suffit-elle à expliquer la chose ? Curieusement, pour le Bureau of Transportation Statistics du ministère des Transports, le vol AA 11 (tour nord du WTC) n'a pas eu lieu le matin du 11 septembre, pas plus d'ailleurs que le vol AA 77 (Pentagone) - détails.
Il faut croire que les hommes de Ben Laden, bien que réputés sans scrupules, ont fait preuve d'une certaine "retenue", tuant "seulement" 3.000 personnes alors qu'ils auraient pu, sans effort supplémentaire, en occire bien davantage. En outre, les tueurs islamistes semblent posséder une conscience de classe assez développée, à défaut de conscience tout court, puisqu'ils prennent bien soin d'épargner les "élites" du monde des affaires et de l'armée. Etranges terroristes que ces terroristes-là...
[size=11]* Le 11 septembre, les principaux PDG de grandes sociétés du World Trade Center étaient en conférence à Offutt (Nebraska), à l'invitation du multimilliardaire Warren Buffett. George W. Bush vint se joindre à eux dans l'après-midi (voir plus bas).
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