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 L'EMPLOI DU TEMPS DE GEORGE BUSH LE 11 SEPTEMBRE

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MessageSujet: L'EMPLOI DU TEMPS DE GEORGE BUSH LE 11 SEPTEMBRE   L'EMPLOI DU TEMPS DE GEORGE BUSH LE 11 SEPTEMBRE EmptyJeu 11 Sep 2008 - 9:01

L'EMPLOI DU TEMPS DE GEORGE BUSH LE 11 SEPTEMBRE :

Ce jour-là, Bush se produit dans une école primaire de Sarasota (Floride). Des écoliers de deuxième année (CE1) montrent au "président" ce dont ils sont capables. Le visiteur s'étonne : "Ils lisent vraiment très bien, on dirait des élèves de sixième." GWB - qui, comme chacun sait, n'a pas inventé l'eau chaude - doit songer à ses propres difficultés lors de l'apprentissage de la lecture, vers l'âge de dix ans...

A 9 heures 05, un homme de sa suite vient lui chuchoter quelques mots à l'oreille. Il lui annonce sans doute qu'un avion s'est écrasé sur la tour nord du WTC* vingt minutes plus tôt, et un autre sur la tour sud il y a tout juste deux minutes. Bush, impassible, ne manifeste aucune réaction. Les caméras, toujours présentes, ont filmé la scène; elles nous montrent un regard "présidentiel" vide et inexpressif. "Sombre" diront les journalistes serviles. L'image qu'offre Bush au monde entier à cet instant est celle du parfait abruti. Les conseillers de la Maison Blanche ont dû penser que le tableau était propre à émouvoir l'Amérique - ce qui en dit long à la fois sur les conseillers et sur l'Amérique...

* Selon certains journaux, Bush aurait été informé du premier crash en arrivant à l'école ou juste avant. Si c'est bien le cas, son comportement n'en est que plus étrange.

Quoi qu'il en soit, la nouvelle qu'on vient de communiquer au "président" n'est pas assez importante pour qu'il interrompe sa visite. Pendant vingt bonnes minutes, il va continuer de bavarder avec les enfants de Sarasota. Entre l'histoire d'une gentille petite chèvre et la tragédie de New York, l'homme "le plus puissant de la planète" a opté pour la chèvre.

Quelques minutes après 9 heures, le Pentagone savait déjà que trois avions avaient été détournés et que deux d'entre eux avaient détruit les plus grands gratte-ciel de New York. Plus qu'il n'en fallait, donc, pour déclencher sur-le-champ l'état d'urgence le plus complet qui soit - et pour que le "président et commandant en chef des armées" accorde toute son attention aux développements en cours. Mais de toute évidence, rien de tel ne s'est produit... A 9 h 30, après intervention de ses conseillers, Bush se réveille et tient une conférence de presse au cours de laquelle il annonce ce que tout le monde sait déjà depuis trois quarts d'heure.

Ce comportement étrange donne à penser que certains responsables savaient d'avance ce qui allait se passer et qu'ils ont veillé à ce que Bush ne soit mis au courant de la situation réelle que peu à peu, et avec un certain retard.

Ce qui n'empêchera pas le mythomane de la Maison Blanche de prétendre quelques mois plus tard qu'il a vu sur un écran de télévision, à son arrivée à l'école de Sarasota (c'est-à-dire vers 8 h 50 - 8 h 55), des images montrant le premier Boeing en train de percuter la tour nord du WTC - alors que de telles images n'ont été diffusées que plus tard.

Que s'est-il vraiment passé ? Voir Mystification - les attentats

An Interesting Day - une compilation très détaillée réalisée par Allan Wood et Paul Thompson (Center for Cooperative Research). On notera que quelques minutes après le premier crash, alors que radios et télévisions venaient à peine d'annoncer ce qu'elles considéraient comme un accident, George Tenet, le chef de la CIA, savait déjà qu'il s'agissait d'une attaque et qu'il fallait y voir l'oeuvre de Ben Laden.

L'EMPLOI DU TEMPS DE GEORGE BUSH LE 11 SEPTEMBRE Bushroute Après avoir quitté Sarasota, l'avion présidentiel Air Force One prend d'abord la direction de Washington, mais est redirigé vers la base militaire de Barksdale (Louisiane). Malgré l'extrême danger qui menace l'Amérique ce jour-là, aucune protection aérienne n'est prévue pour le numéro un. Ce n'est que deux heures plus tard que les premiers F-16 seront disponibles. Ils viennent d'Ellington (Texas), alors que les chasseurs basés en Floride auraient pu et dû rejoindre Sarasota en quelques minutes.

On ignore ce que Bush est censé faire à Barksdale - peut-être prendre un hélicoptère pour Crawford (Texas) où se trouve son ranch ?... Apparemment non, car deux ou trois heures plus tard, son avion repart - sous bonne escorte cette fois - vers la base militaire d'Offutt (Nebraska), une base qui dispose d'un abri antiatomique.* A quoi rime cette odyssée ? Veut-on effrayer Bush pour mieux le "protéger" ? Faire pression sur lui, lui expliquer ce qu'il doit faire, éviter qu'il ne commette quelque bévue gênante pour ceux qui tirent les ficelles ?... Qui sont ces gens ?... Toujours est-il que dès qu'ils ont la situation bien en mains, Bush refait surface, revient à Washington et reprend son rôle de "président". Le "vice-président" Cheney disparaît lui aussi, mais contrairement à son "chef", il reste "caché". Comment faut-il interpréter cette disparition ? (Certains commentateurs américains suggèrent avec un clin d'oeil que Cheney met à profit ses loisirs forcés pour détruire tous les documents compromettants qui prouvent sa responsabilité dans les scandales Halliburton et Enron.)

* A l'heure où ont lieu les attentats de New York, une étrange réunion se déroule sur cette base militaire d'Offutt. Le multimilliardaire Warren Buffett, la 2ème fortune des USA, y reçoit les principaux PDG de grandes sociétés ayant leurs bureaux au WTC, pour une "rencontre de bienfaisance". George W. Bush les rejoint dans l'après-midi. Commme le signale Webster Tarpley, un "exercice" militaire, dirigé depuis cette base avait lieu ce jour-là.

Retour aux attentats : une "enquête" très fouillée et très approfondie confirme au bout de quelques heures que le coupable a pour nom Ben Laden et que les talibans afghans sont ses complices. On va donc pouvoir "riposter" en déclenchant contre l'Afghanistan cette guerre que l'état-major prépare depuis des mois - à tel point que même les Pakistanais sont depuis longtemps au courant (Niaz Naik, un diplomate de ce pays a déclaré à la BBC que de hauts fonctionnaires américains lui avaient annoncé dès juillet 2001 que l'attaque contre l'Afghanistan aurait lieu vers la mi-octobre).

Simultanément, Bush peut annoncer au monde un virage à 180 degrés de la politique extérieure américaine (fin de l'apparent isolationnisme politique, guerres et interventions tous azimuts, mise au pas des "alliés" et des autres). Il est vrai que le "président" n'y voit pas très clair dans toutes ces histoires de doctrines stratégiques. La seule chose qu'il en retient dans l'immédiat, c'est qu'il va enfin y avoir de la bagarre et beaucoup d'argent à gagner. Ceux qui pensent, décident et organisent pour lui n'en demandent pas plus ; ils ont tout lieu d'être satisfaits.

DON'T ASK ME NO QUESTIONS...

23 questions à George Bush : ces questions posées au "président" par le comité d'organisation des familles de victimes du 11 septembre resteront bien entendu sans réponse. Sachant qu'une indemnisation est prévue à raison de 1,8 million de dollars par famille en moyenne (le montant exact à verser étant fonction de l'âge et des revenus de chaque victime), il est probable que le gouvernement n'a rien à craindre de ce côté-là. 95 % des familles auraient accepté cette "solution" financière avec, en contrepartie, l'obligation de renoncer à toute démarche ou poursuite ultérieure. Autrement dit, on a acheté le silence de la plupart de ceux qui auraient personnellement intérêt à ce que la lumière soit faite sur le drame du 11 septembre.

En juillet 2004, à l'occasion de la publication du rapport bidon de la commission "indépendante" sur le 11 / 9, l'écrivain canadien Henry Makow écrit : "La commission déclare qu'il était impossible d'empêcher les attentats terroristes. Sachant qui a organisé ces attentats, et compte tenu des motifs, la commission a bien sûr parfaitement raison... Il se trouve que les gens chargés de la défense des Etats-Unis sont précisément ceux qui sont responsables des attaques. S'il en avait été autrement, il est clair que ces gens auraient été sanctionnés... Cette commission 'indépendante' est aussi 'indépendante' que l'était la Commission Warren [chargée "d'enquêter" sur le meurtre de Kennedy]. En fait, les auteurs des attentats ont eux-mêmes mené les 'investigations' et se sont eux-mêmes accordé l'absolution."

Quelques-unes des questions évoquées plus haut (pas toutes malheureusement) sont reprises dans le film de Michael Moore : Fahrenheit 911
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