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| Sujet: L'EFFONDREMENT DES TOURS DU WORLD TRADE CENTER Jeu 11 Sep 2008 - 9:11 | |
| L'EFFONDREMENT DES TOURS DU WORLD TRADE CENTER :
L'effondrement des deux tours de 110 étages est trop "méthodique" et n'a pu être causé par le crash des Boeing. C'est ce qu'avance dès le 11 septembre un spécialiste de la question, Van Romero, directeur du New Mexico Institute of Mining and Technology. Cela ressemble à une implosion contrôlée, provoquée par des charges explosives disposées à des emplacements "stratégiques" - une méthode généralement utilisée pour la démolition de vieux gratte-ciel. Lire les détails Les terroristes ont-ils voulu ainsi "parfaire leur ouvrage" et effacer des traces gênantes ? Le fait est que la chose complique toute enquête éventuelle et soulève de nouvelles questions :
Comment a-t-il été possible d'introduire et de mettre en place des explosifs dans un édifice surveillé ayant déjà fait l'objet d'un attentat à la bombe quelques années auparavant ? N'est-ce pas faire trop d'honneur à Ben Laden et à son Al-Qaïda que de leur attribuer de telles capacités ? Qui a agi en leur nom ?
(Van Romero a par la suite fortement "nuancé" ses déclarations. Inutile d'être devin pour imaginer les pressions qu'il a dû subir - son institut reçoit 10 millions de dollars de subventions fédérales par an.)
L'explication technique donnée pour justifier l'effondrement des tours (les poutres d'acier auraient fondu ou cédé sous l'effet de la chaleur) semble passablement fantaisiste. La chaleur dégagée par l'incendie* n'a pas été suffisante pour produire un tel effet, d'autant plus qu'une grande partie du carburant a brûlé à l'extérieur des édifices, comme le montrent les photos. En outre, si la destruction d'une partie de l'ossature des tours a pu faire céder les étages qui se trouvaient au-dessus, elle n'explique pas que l'ensemble se soit écroulé comme un château de cartes en l'espace de quelques dizaines de secondes. Lire à ce sujet un article de J. McMichael
* La température dégagée par la combustion du kérosène et de tout ce qui se trouvait dans les bureaux du WTC n'a sans doute pas dépassé les 600-700 degrés C. A cette température, l'acier (dont le point de fusion est de 1.500 degrés) perd une bonne partie de sa rigidité. Mais même en considérant le fait que la structure métallique des étages directement touchés par le crash était partiellement endommagée, il est loin d'être certain que la température, la durée et l'étendue de l'incendie aient été suffisantes pour déformer et faire céder les poutres restées intactes. Il est probable en tout cas que la déformation de celles-ci aurait été assez lente et qu'il n'y aurait pas eu d'effondrement subit. Lire ici des extraits du livre Time for Painful Questions d'Eric Hufschmid (format pdf) - cliquer ici pour convertir les températures
La charpente d'acier d'un gratte-ciel est suffisamment rigide et résistante pour supporter s'il le faut le double ou même le triple du poids total de l'édifice (marge de sécurité). Bien sûr, une telle surcharge n'est pas conseillée, mais elle est possible. Dans le cas du WTC, la charpente était constituée, d'une part, par les 240 colonnes verticales caractéristiques de la façade, disposées à raison d'une par mètre et reliées entre elles par des poutres horizontales, et d'autre part par les colonnes de métal du noyau central contenant les cages d'ascenseurs (ce noyau occupant un quart de la surface de chaque plancher). Bien entendu, des poutres tranversales supportant les planchers reliaient noyau central et façade extérieure, assurant ainsi une parfaite stabilité de l'ensemble.
Même en supposant que les étages supérieurs de chacune des deux tours jumelles (c'est-à-dire en gros les niveaux 80 à 110 - soit 30 étages - pour la tour Nord, et 70 à 110 - soit 40 étages - pour la tour Sud) se soient effondrés de manière "naturelle" à la suite du crash et de l'incendie (la chose reste à prouver), les étages inférieurs (au nombre de 80 et 70 respectivement, plus 10 étages de fondations) pouvaient parfaitement supporter la surcharge, puisque leur ossature métallique était encore intacte (à moins de penser, comme certains n'hésitent pas à le faire, que l'incendie des étages supérieurs ait pu fragiliser ou rendre "malléable" cette ossature des 70 ou 80 étages restants, ce qui serait non seulement contraire aux lois de la physique mais aussi en totale contradiction avec les témoignages des pompiers - voir un peu plus bas l'article La vérité commence à poindre).
Lorsque les 30 étages supérieurs de la tour Nord se sont affaissés sur les 80 étages restants, ces derniers ont été soumis "collectivement" à une surcharge (théorique) d'environ 37 %, puisqu'ils ont dû supporter à eux seuls le poids de l'ensemble de la tour (110 étages). Dans le cas de la tour Sud, l'excédent de poids (théorique) à été de 57 %. En tenant compte des fondations, ces pourcentages sont encore plus faibles (respectivement 33 et 50 %). Certes, ces chiffres ne tiennent pas compte de tous les facteurs ; ils sont approximatifs mais donnent néanmoins un ordre de grandeur. La surcharge à supporter par la charpente métallique intacte des étages inférieurs du WTC n'était donc pas aussi dramatique qu'on veut nous le faire croire.
Pour ce qui est des planchers, on peut à la rigueur imaginer qu'ils aient cédé un par un sous le poids en rompant leurs attaches avec le squelette d'acier. Mais, sans un "petit coup de pouce", ce phénomène ne pouvait pas se produire de manière systématique et régulière au rythme de plusieurs étages par seconde jusqu'à la base des tours. Et surtout, les colonnes de la façade et du noyau central (toutes encore intactes après le crash) n'auraient pas pu suivre le mouvement. Une très grande partie du squelette aurait dû rester debout, déformée sans doute mais encore debout.
Qu'un gratte-ciel puisse s'effondrer comme le WTC, cela ne s'est encore jamais vu - et pourtant on en construit depuis plus d'un siècle. Si la chose était possible, il faudrait définitivement renoncer à ériger ce type d'édifice (pour des raisons évidentes de sécurité). D'autre part, les entreprises de démolition disposeraient désormais d'une nouvelle technique absolument révolutionnaire : il suffirait de faire sauter quelques étages dans la partie supérieure d'une tour, et tout le reste suivrait bien gentiment une heure plus tard. La méthode est-elle déjà brevetée ?...
Selon un des architectes du World Trade Center, les tours avaient été conçues, à la fin des années 1960, pour résister au crash d'un Boeing 707-340, le plus gros avion en service à l'époque. Les 767 impliqués sont à peine plus grands et plus lourds, leur vitesse de croisière est inférieure, la capacité des réservoirs de carburant est la même.
S'il s'était agi, le 11 septembre, d'une "catastrophe naturelle" et non d'un attentat politique, on aurait, après évacuation et tentative de sauvetage des occupants des étages supérieurs, condamné l'accès aux tours, transporté les débris en lieu sûr, entrepris une enquête et réfléchi à la possibilité d'une reconstruction. En tout cas, des ruines imposantes auraient subsisté encore longtemps dans le ciel de Manhattan. Mais il n'y a pas eu de "catastrophe naturelle", et les tours jumelles ont été entièrement détruites.
"Pour des raisons d'hygiène et de sécurité", les autorités ont fait procéder sans attendre au déblaiement et au nettoyage du Ground Zero. La "ferraille" du WTC a été vendue à des entreprises indiennes, chinoises ou coréennes, sans entreprendre aucun examen sérieux, ni aucune investigation matérielle à la mesure des événements.* Il y a eu destruction volontaire - et criminelle - de pièces à conviction. Les "coupables" étant connus d'avance, tout ce qui risquait de perturber ou de contredire la version officielle devait disparaître au plus vite.
* On a parfois prétendu, pour justifier cette inactivité, qu'un examen matériel des poutres métalliques et autres débris du WTC était parfaitement inutile, puisque les spécialistes étaient tout à fait en mesure de déterminer les causes et le déroulement de la catastrophe en effectuant une modélisation informatique... Si tous les accidents mystérieux et toutes les affaires criminelles pouvaient se résoudre de cette façon-là, on pourrait se passer de beaucoup de policiers et d'experts en criminalistique. Il suffirait de quelques ordinateurs et de logiciels appropriés - logiciels qui nous livreraient les réponses pour lesquelles ils auraient été programmés. A la limite, la simulation informatique conduit à des résultats aussi cocasses que ceux de la "reconstitution du crash" du Pentagone effectuée par l'Université Purdue (voir plus bas).
En mars 2006, le Landmark Tower de Fort Worth (Texas) s'écroule de la même façon que le WTC de New York, sans Boeing mais avec des charges explosives placées au bon endroit - les mêmes causes produisent les mêmes effets...
The 9/11 Operation : A Summary - un résumé très plausible (sur un site finlandais).
WTC # 7
Si l'effondrement des Twin Towers soulève bien des questions, l'écroulement d'un édifice voisin de 47 étages (Building # 7), plus de huit heures après l'attentat, est plus surréaliste encore. L'implosion subite de l'immeuble, analogue à celle des tours jumelles, serait due, paraît-il, à un incendie déclenché par des débris enflammés provenant de la tour nord, incendie que les pompiers ne seraient pas parvenus à maîtriser.
Il est déjà arrivé aux Etats-Unis que des gratte-ciel soient détruits par les flammes, par exemple le Meridian Plaza de Philadelphie en 1991, la First Interstate Bank de Los Angeles en 1988 ou le One New York Plaza en 1970 (voir les détails). Mais jamais encore un incendie n'avait provoqué la chute d'une tour. Et pourtant à Philadelphie, le feu avait fait rage pendant 18 heures. (En février 2005, la tour Windsor de Madrid - 32 étages - brûle pendant plus de 24 heures sans s'écrouler.)
C'est sans doute dans le cas du Building # 7 que la supercherie officielle est la plus criante. Mais c'est aussi malheureusement là que l'invraisemblable thèse gouvernementale passe le plus facilement car le monde entier se concentre sur les tours jumelles.
Le propriétaire du WTC # 7 était le multimilliardaire Larry Silverstein, magnat new-yorkais de l'immobilier et un des grands profiteurs du 11 septembre.
L'édifice abritait, outre le siège de Silverstein Properties, diverses banques et compagnies d'assurances, les bureaux de la commission de contrôle des opérations de bourse, des locaux (clandestins) du Secret Service, le bunker de commandement de l'office de lutte anti-catastrophe de la mairie de New York, et un réservoir de carburant de 24.000 litres situé juste au-dessus du rez-du-chaussée et destiné à alimenter en cas de besoin les groupes électrogènes du bunker du 23ème étage.
Le site 9-11 Research, très documenté, analyse tous les détails (notamment techniques) des attentats du WTC : indispensable pour se faire une idée précise de ce qui a pu se passer ce jour-là.
Lire aussi : La vérité commence à poindre
Voir également cet article du Réseau Voltaire : Rumsfeld connaissait à l'avance les plans du 11 septembre
Quatre ans après les attentats, Steven E. Jones, professeur de physique à l'Université Brigham Young (Utah, USA) parvient lui aussi à la conclusion que l'effondrement des tours du WTC est un cas de "démolition contrôlée". Il est soutenu par 60 de ses collègues. Steven Jones explique ici pourquoi et comment les bâtiments du WTC se sont effondrés (traduction française de Pétrus Lombard).
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