L'ÉTRANGE CRASH DU VOL UA 93 :
Vers 10 h 10, un Boeing des United Airlines s'écrase en Pennsylvanie. Il a décollé une heure et demie plus tôt de Newark (dans le New Jersey, près de New York) à destination de San Francisco. L'appareil a été détourné alors qu'il se trouvait au-dessus de l'Ohio et vole en direction de Washington. A bord, il y a 38 passagers... et 144 sièges vides. N'est-ce pas étrange, alors que les compagnies aériennes se plaignent de la crise et annulent des vols ?
Curieusement, le site du crash, dans une zone rurale du Somerset County, ne présente pas du tout l'aspect habituel des catastrophes de ce genre. Ernie Stull, le maire de Shanksville, une petite localité voisine, déclare :
"Lorsqu'on nous a alertés en nous disant qu'un avion s'était écrasé, nous sommes vite accourus. Mais à notre grande surprise, il n'y avait pas d'avion, aucun avion." Près de l'endroit où se trouve aujourd'hui un mémorial en hommage aux victimes, un grand trou noir profond de six mètres, entouré de barbelés, est tout ce qui subsiste de la tragédie du 11 septembre. Aucun corps n'a été retrouvé sur place. Par contre, des restes humains et des débris jonchaient le sol à douze kilomètres à la ronde. Aucune investigation civile n'a été entreprise. Ce sont des "spécialistes" du Pentagone qui ont identifié les victimes grâce à des analyses d'ADN. Tout le reste est classé "secret défense".
Des témoins ont entendu un bruit de missile, d'autres ont vu un second avion : on n'a pas tenu compte de leurs dépositions.
Il existe une photo prise au moment du "crash". Elle montre un nuage sombre en forme de champignon - c'est exactement le genre de nuage observé lors de certains bombardements américains en Afghanistan. L'avion a-t-il été détruit en vol par un missile ? A-t-on simultanément lancé une bombe pour pouvoir ensuite présenter le cratère comme étant le site de la catastrophe ?
Flight 93 Timeline - la chronologie du vol 93 (une compilation de Paul Thompson).
Le journaliste allemand Gerhard Wisnewski a enquêté de manière très détaillée sur la question et réalisé un reportage (
Aktenzeichen 11.9. ungelöst) diffusé en juin 2003 sur la chaîne publique allemande WDR. Wisnewski est également l'auteur du livre
Opération 9 / 11.
En décembre 2004, le ministre de la guerre Donald Rumsfeld, dans une conférence de presse donnée à l'occasion de sa "visite" en Irak, parle des
"terroristes qui ont attaqué le Pentagone et abattu un avion en Pennsylvanie". Rumsfeld est connu pour ses gaffes révélatrices.
LES MYSTÈRES DE L'ATTENTAT CONTRE LE PENTAGONE :Cet attentat n'a pu se dérouler de la manière décrite par les autorités américaines. C'est la conclusion qui s'impose après la lecture du dossier présenté par le Réseau Voltaire. A en juger par la faible étendue des dégâts initiaux (les étages supérieurs ne se sont écroulés que 30 minutes après le "crash"), l'avion aurait dû percuter le Pentagone au niveau du rez-de-chaussée, et seul le nez de l'appareil se serait encastré dans le bâtiment. C'est bien évidemment impossible dans le cas d'un Boeing volant, nous dit-on, à plus de 500 km/h. D'autant plus qu'il aurait fallu que l'avion effectue son approche au ras du sol, plus bas encore que sur les photos ci-dessous, et ce sans endommager les abords de l'édifice : route, véhicules, lampadaires, arbres, pelouse, baraques de chantier... (L'angle horizontal de 45 degrés par rapport à la façade est mentionné par la plupart des sources ; un angle différent ne changerait rien au problème.)
Tailles comparées du Boeing (longueur: 47 m; envergure: 38 m; hauteur totale: 13 m)
et du Pentagone (hauteur de la façade: 23 m)
A mourir de rire : dans une "reconstitution du crash" que nous proposent
des "experts" de l'Université Purdue (Indiana, USA),
l'avion va percuter le bas de la façade sans toucher la pelouse.
Le "terroriste" aux commandes de l'appareil s'est surpassé ce jour-là,
lui qui était incapable de piloter correctement un Cessna.
Mais bien d'autres questions demeurent sans réponse :
Exception faite du fragment ci-dessous, dont l'origine est douteuse, personne n'a jamais vu l'épave du Boeing. Où est-elle passée ? Elle ne figure sur aucune des photos, pas même celles prises avant l'effondrement des étages supérieurs, c'est-à-dire au plus tard une demi-heure après le "crash". A-t-on pu escamoter si vite ce qui subsistait de la carlingue et des ailes ? Et pour quelle raison ?... On a également prétendu avoir retrouvé un phare de l'avion et les boîtes noires. Mais on se garde bien de les montrer ou de publier leur contenu.
On a prétendu plus tard que la carcasse de l'appareil s'était "volatilisée" ou "évaporée" sous l'effet de l'extrême chaleur. Explication passablement abracadabrante quand on sait que l'alliage d'aluminium utilisé dans l'industrie aéronautique a une température d'ébullition d'environ 2500 degrés C. Or, le kérosène en combustion dégage une température bien inférieure et de toute manière, on nous dit que l'explosion s'est produite hors de l'édifice (voir la photo un peu plus bas). Mais comme par magie, tout ce qui se trouvait autour du Boeing "disparu en fumée" est demeuré à l'état solide et il a été possible, paraît-il, d'identifier les victimes, y compris celles qui se trouvaient dans l'avion désintégré ! Les gars qui ont mis au point cette fabuleuse technique d'analyse de l'ADN "gazeux" sont assurés d'avoir le prochain Prix Nobel...
Par quel miracle les invisibles boîtes noires, le mystérieux phare et le morceau de métal qui nous est présenté ont-ils pu échapper à la destruction totale ? Comment se sont-ils détachés de l'avion ?
Y a-t-il des témoins sérieux du crash ? Beaucoup de témoignages plus ou moins vagues parlent d'explosion violente, de boule de feu, de rideau de fumée. Mais quelqu'un a-t-il vu un Boeing s'écraser ?
Un des rares témoins précis, Steve Patterson, affirme dans le
Washington Post avoir observé un
"avion pouvant contenir huit à douze personnes" se diriger vers le Pentagone. Selon le journal, l'homme qui habite au 14ème étage d'un immeuble de Pentagon City aurait vu l'avion passer sous sa fenêtre à une distance de 150 mètres, survolant le cimetière d'Arlington à six mètres du sol, comme s'il voulait atterrir sur l'autoroute I-395. Un coup d'oeil sur le plan du quartier permet de constater que ce témoignage ne tient pas debout, ou que les chiffres cités sont fantaisistes. Patterson, s'il existe (recherches Internet infructueuses), a sans doute vu quelque chose, mais certainement pas un Boeing 757, et pas comme il le décrit. Le journaliste Raphaël Meyssan pense qu'il s'agit d'un missile - voir plus bas. (Tom Seibert, un des témoins vagues cités par le
Washington Post déclare qu'il a entendu
"comme un bruit de missile".)
Pentagon City (un quartier de la ville d'Arlington, Virginie) se trouve au sud de la 395 (en bas à droite).
La distance la plus courte entre ce quartier et le cimetière d'Arlington est de 500 m.
Washington, DC est un peu plus à l'est, sur l'autre rive du Potomac (en haut à droite).
C'est la façade ouest du Pentagone qui a été endommagée.
(route 244 = Columbia Pike / Fort Myer = Navy Annex)
Un autre témoin, Kirk Milburn, également cité par le Washington Post dit avoir entendu et vu un avion voler en direction du Pentagone. Milburn était alors au volant de sa voiture et venait de quitter l'autoroute par la sortie conduisant vers le cimetière d'Arlington. Il aurait vu voltiger des débris et entendu un bruit genre "whoosh whoosh" suivi d'une seconde (?) explosion. Mais il ne parle pas, lui non plus, de Boeing. Qu'a-t-il vu exactement ? Un journaliste a-t-il tenté de retrouver ce témoin dont le lieu de résidence est inconnu ? L'homme travaille paraît-il pour Atlantis Co. Cette entreprise existe-t-elle vraiment ? Faites une recherche Internet et informez-moi...
Les autres témoins cités par la presse sont des militaires ou des gens qui étaient ailleurs: dans leur bureau d'où ils ne pouvaient rien voir; dans le métro qui passe à l'est du Pentagone; sur le pont du Potomac, également à l'est, à plus d'un kilomètre de là, etc., etc... Et pourtant c'est sur ces "témoins" que se fonde la presse alignée, Le Monde et Libération en tête, pour dénigrer le travail de recherche effectué par le journaliste Thierry Meyssan dans son livre L'effroyable imposture.
Gerard Holmgren passe ici au crible les principaux témoignages : 1ère partie - 2ème partie.
La version officielle, colportée par le Washington Post, prétend que l'avion s'est écrasé sur l'héliport situé devant le Pentagone, et que le bâtiment a été transpercé par l'impact du Boeing. De toute évidence, cette affirmation est inexacte. Voir ici